Expositions

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Des choses très concrètes

 Du 20 juin au 15 juillet 2020

Exposition collective.  Conception visuelle : Guillaume André. Avec les oeuvres de Claude Boudeau, Abel Burger, Antoine Clerget, Pierre-Henry Degert, Pauline Desgrez, Benjamin Desoche, Mélissa Didier, Jean Baptiste Fayol, Jay Fox, Jules Fresard, Guillaume Haton, Elise Havet, Alexandre Jouffroy, Anne-Claire Jullien, Caroline Karst, Félix Konieczka, Luce Jaloose, Cat Merdy, Evelise Millet, Maxime Peroz, Robin Perrey, Thomas Perrin, Duville 21, Romuald&Pj, Medi Taoufiq, Mathieu Van Herzeele, Lùlù Zhāng

Ca y est, il est temps, il faut ré-ouvrir. Mais le temps d’avant, c’était le temps d’avant, et le jambon et le fromage coûtent cher. Alors, pour soutenir les artistes-auteurs, on a enfourché le tigre avec une exposition collective, plein d’artistes, et plein d’oeuvres. Et, pour que nos ami.es artistes privé.es de revenus pendant cette période de crises sanitaire et économique puissent continuer de faire des trucs, dessiner, peindre, sculpter, gesticuler dans tout les sens, nous surprendre, éventuellement nous émerveiller, tout est à vendre, à l’exception du gel hydroalcoolique (pour garantir votre sécurité à moindre frais), et le café (parce que les bonnes habitudes ne devraient jamais se perdre).

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Channel n°5

Channel n°5

 Du 07 au 28 mars 2020

Exposition collective.  Commissariat : Mélissa Didier & Ex Lumina. Conception visuelle : Guillaume André. Avec les oeuvres de Jay Fox, Robin Perrey, Hugo Delanoë et Antoine Fevre Birdy.

« Ça fait un moment que j’avais envie d’inviter Ex Lumina, collectif bisontin, à investir l’espace de FEU!!! :  des amis qui nous font rêve avec leurs lumineuses installations, numériques, digitales, sonores, dans toutes les soirées bisontines et ailleurs. Mais c’est ici chaque membre du collectif, Antoine, Jay, Hugo et Robin, qui individuellement, dans leur rôle d’artiste, mettent en parallèle leurs travaux, chacun évoquant d’une manière différente la représentation numérique de soi. 

De manière poétique, ici, la technologie soulève des questions qu nous concernent toutes et tous. Les écrans font partie de nos vies, qu’on le veuille ou non : désormais, chacun de nous possède son avatar virtuel quelque part, qui évolue dans ce monde digital. Par le biais d’applications, de réseaux sociaux ou encore de manière plus diffuse, un traçage numérique qui en dépit de nos efforts arrivent à nous retrouver à coups de publicités ciblées… » 

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Corpus Christi – Julien Cadoret

Du 18 Janvier au 15 Février 2020. 

Exposition monographique de l’artiste Julien Cadoret.  Commissariat : Thomas Perrin. Conception visuelle : Guillaume André. Avec l’aimable participation d’Emmanuel Lacoste et Rodolphe Cintorino.

« Entre Julien Cadoret et Jésus Christ, au-delà de leurs initiales communes, les ressemblances sont rares. Un postulat assez évident pour qui connaît l’artiste plasticien, le performeur, le chargé d’action culturelle, le commissaire d’exposition, l’organisateur d’Excentricités (rencontres internationales étudiantes de la performance), le professeur. Au-delà de la liste des choses qu’est (ou que fait) Julien Cadoret, il faudrait ajouter comme un point final, ou plutôt un point de départ, qu’en plus de tout ça Julien est un corps.

Si l’assertion peut sembler évidente, il faudrait toutefois rappeler que si nombre d’entre nous sont fièr.e.s de posséder un corps, peu s’autorisent à en être un. La réflexion sur le corps est pour Julien Cadoret une question centrale, que ce soit dans sa pratique de la performance ou son travail de commissaire d’exposition et de chercheur, et s’étend à l’ensemble de son oeuvre. Même quand ils sont absents, tels des fantômes, les corps restent omniprésents partout… »

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Liquidation Totale

Du 23 Novembre au 26 Décembre 2019. 

Exposition collective avec : Mathieu Van Herzeele, Evelise Millet, Erica Storer de Araújo, l’Atelier de l’étoile, Pierre-Henry Degert, Maeva Himmler et Solène Colin, Valentin Kattelat et Billy Boishu, François Compagnon, Léo Gallo, et l’aimable participation de Michel Demenge. Commissariat : Martin Lavigne. Conception visuelle : Guillaume André.

« Au centre-ville de Besançon, la galerie Saint-Pierre est un des derniers grands espaces de stagnation. Le centre a fait échouer les logiques urbanistiques consistant à y faire circuler les passants.

Logée au centre de la ville, cette galerie commerciale, centre d’affaires, et espace d’habitation avait été pensé pour pallier le manque de dynamisme dans l’une des entrées de la boucle, alors composée exclusivement de casernes : l’ancienne caserne Lyotet, où prend lieu et place la médiathèque Pierre Bayle, s’étendait alors jusqu’au collège Lumière… »

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Poisons

Du 5 Octobre au 2 Novembre 2019. 

Exposition collective avec Abel Azcona, Théo Romain, Emilie Viollon, Alexandre Jouffroy, Jean Michel Blondeau, Félix Basset, Moumen Bouchala, Claude Boudeau, Revue Métropolis M, Brutas Collective, Sara-Lou Berthelot-Fogel. Commissariat : Claude Boudeau & Mathieu Van Herzeele. Conception visuelle : Guillaume André. 

« Poisons, c’est la seule réponse que nous pouvions donner à nos politiques contemporaines. La seule réponse valable à leur idéologie morne, leur révisionnisme de bas étage, et leurs institutions moralisatrices, garantes de leur propre légitimité. Que l’on s’intéresse au milieu de l’art et de la culture, ou plus globalement aux enjeux sociaux et écologiques ; tout ne se résume plus pour eux qu’à un habile jeu de magouilles qui tend à nous changer en esclaves. C’est un jeu qui leur appartient, ce sont leurs règles et ils en sont les gardiens.

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Indésirable – Gérald Colomb

Du 22 Juin au  27 Juillet 2019.

Exposition monographique de l’artiste Gérald Colomb.  Commissariat : Thomas Perrin. Conception visuelle : Guillaume André. 

Indésiré parfois est l’amant, indésirable est le squatteur, indépendant est l’artiste éternel. Gérald Colomb est tout à la fois chacun de ces termes, qui se rejoignent et se repoussent, paradoxaux parce qu’insuffisants faces à lui. Son œuvre démontre la technicité dont il sait faire preuve, mais la brillance et le lustre de la pierre nous font parfois oublier les heures passées seul dans la poussière de la disqueuse, au son d’affreux remix techno et à la lumière d’un projecteur de chantier. Gérald, romantique et punk à la fois, indépendant et toujours au service du collectif, immortel parce qu’il a un jour décidé qu’il survivrait à tout…

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